Je vais te partager un des meilleurs conseils business que j’ai reçus.
Et ce n’est pas venu d’un bouquin, d’un séminaire ou d’un post LinkedIn.
Non. C’était autour d’un dîner.
Face à un entrepreneur qui pesait plusieurs millions.
Je me plaignais de mes galères avec les freelances.
Tu connais sûrement le tableau :
Certains ne répondent plus après la première mission.
D’autres facturent trois fois plus que prévu.
Et puis il y a ceux qui disparaissent au milieu d’un projet.
Bref, ce soir-là, j’étais à bout.
Et je lui ai dit un truc un peu radical :
“Je vais tout automatiser. IA + assistants. Je ne recrute plus personne.”
Il m’a regardé calmement et m’a sorti cette phrase :
“Tu connais la règle des 78 % ?”
Je lui ai répondu non, évidemment.
Et là, il m’a balancé ce qui allait devenir un de mes plus grands déclics.
Le fantasme du travail “parfait”
Il m’a expliqué un truc simple, mais puissant.
Quand tu délègues un travail à quelqu’un – freelance, employé, assistant –
tu veux inconsciemment qu’il fasse exactement comme toi.
Tu veux que ce soit fait à 100 % comme tu l’aurais fait toi-même.
Et comme c’est presque jamais le cas, tu te retrouves frustré.
Tu rumines.
Tu regrettes même d’avoir délégué.
Mais voilà l’erreur : ce 100 % n’existe pas.
Et il m’a dit :
“Si tu obtiens 78 % de ce que tu attendais, c’est une victoire.”
Pourquoi 78 % ? Aucune science exacte.
Mais c’est ce seuil où :
✅ C’est bien fait.
✅ Tu n’as pas eu à le faire toi-même.
✅ Tu peux avancer.
78 %, c’est suffisant pour scaler
Depuis cette discussion, j’ai complètement revu ma manière de bosser.
Je ne cherche plus la perfection.
Je cherche l’effet levier.
Quand tu acceptes que 78 % c’est “assez bien”,
tu déverrouilles un truc essentiel : tu lâches prise.
Et surtout, tu multiplies ta capacité d’action.
Tu peux confier plus de missions, tester plus d’idées, prendre plus de clients…
Parce que tu n’es plus le goulot d’étranglement de ton propre business.
Mais j’ai trouvé mieux que les 78 %…
Tu vas me dire : ok, c’est bien joli. Mais parfois, les 22 % qui manquent…
c’est pile ce qui fait la différence.
C’est vrai.
Et c’est là que l’IA entre en scène.
Aujourd’hui, je travaille avec des clones vocaux, des assistants IA, des scripts custom…
Et surtout : je clone mes meilleurs freelances.
Je prends leurs meilleures réponses, leurs meilleures idées,
je les entraîne dans des prompts ultra-précis…
Résultat : je me rapproche souvent des 90 % de satisfaction.
Et le plus beau ? C’est que ces 90 % sont constants, scalables, réplicables.
Conclusion : tu n’as pas besoin de 100 %
Ce conseil m’a libéré.
Il m’a appris à accepter l’imperfection, à déléguer avec plus de sérénité
et à construire des systèmes plus robustes.
Aujourd’hui, je sais que le plus important n’est pas que ce soit “parfait”.
Le plus important, c’est que ça avance.
Et si tu es dans une phase où tu veux faire plus, avec moins de charge mentale,
garde cette règle en tête :
78 % c’est suffisant – surtout si ça ne dépend pas de toi.
Et si tu veux frôler les 90 %, tu sais ce qu’il te reste à explorer :
l’automatisation, l’IA, et surtout… les bons systèmes.
Et c’est ce que j’enseigne ici:
À très vite,
Kevin